« Notre problème à Bagré c’est la
commercialisation du riz » cette phrase est presque qu’un refrain pour les
producteurs qu’on rencontre producteurs comme transformateurs
Pour certains transformateurs venus
présent à la rencontre producteurs, la qualité du riz de Bagré a longtemps été
décrié pour cause de mauvaise technique de séchage, du taux d’humidité élevé
(16 à 25%) qui rendent la transformation quasi impossible.Pour Adama, les
producteurs dont les besoins urgent les contraint à la vente de leur production
ne respectent guère le taux acceptable 12% d’humidité. Autre
difficulté relevé, le mélange variétal.
A ce niveau, les commerçants et distributeurs sont indexé par les transformateurs. Qu’il soit commerçants ou distributeurs de riz paddy, blanchi ou étuvé, ces derniers procèdent au mélange de la variété tout au long de la chaine influençant la qualité du riz. Les facteurs cités plus haut ont longtemps donnés une mauvaise réputation au riz de la plaine. Les impuretés (cailloux) y sont fréquentes. Mais rassure ADAMA Bantango, cette situation est en passe de s’inscrire au passé. En effet l’église c catholique a opéré un important investissement en installant une chaine complète de transformation de riz. Aujourd’hui le riz issu de cette chaine ultra moderne ne souffre d’aucun défaut. La qualité du riz est irréprochable avec cette unité.
A ce niveau, les commerçants et distributeurs sont indexé par les transformateurs. Qu’il soit commerçants ou distributeurs de riz paddy, blanchi ou étuvé, ces derniers procèdent au mélange de la variété tout au long de la chaine influençant la qualité du riz. Les facteurs cités plus haut ont longtemps donnés une mauvaise réputation au riz de la plaine. Les impuretés (cailloux) y sont fréquentes. Mais rassure ADAMA Bantango, cette situation est en passe de s’inscrire au passé. En effet l’église c catholique a opéré un important investissement en installant une chaine complète de transformation de riz. Aujourd’hui le riz issu de cette chaine ultra moderne ne souffre d’aucun défaut. La qualité du riz est irréprochable avec cette unité.
Mais comment reconquérir et fidéliser la
clientèle ?
Si la réputation du riz de Bagré,
reste à recouvrir, il va s’en dire que les producteurs ont du riz sur les bras.
En février 2015, dans la presse nationale il était question de
difficultés de commercialisation du riz du périmètre de Bagré. Je cite « environ 2800 tonnes
de riz produites à Bagré (1800 tonnes chez les groupements de l’union et
1000 tonnes chez les autres producteurs) sont stockées en attente de preneurs,»
Avec deux récoltes par ans, dire qu’il Ya
du riz dans la plaine est un euphémisme. L’union des groupements dispos de plus
de 16 magasins de stockage. Aujourd’hui le défi de la commercialisation est en
passe d’être résolu. Inscription dans les SIM, recrutement de commerciaux,
amélioration de la qualité, tous ces efforts reste méconnus des consommateurs
urbains. Mais une campagne de sensibilisation est en cours pour encourager la
consommation du riz local. Pour les producteurs, pour peu qu’une offensive
commercialisation soit lancé, cette plaine est capable selon eux de
satisfaire la demande en riz au niveau nationale.