mardi 30 décembre 2014

Bourses aux céréales édition 2014 ; négocier, acheter, vendre et signer des contrats

120 participants, 09 contrats de  commercialisation portant sur le mil,maïs, sésame sorgho et fonio signés et des promesses de collaboration futurs, la bourse aux céréales 2014  d’Afrique Verte n’a pas failli à la tradition et à son crédo : servir de cadre unique de commercialisation  entre les différents acteurs de la filière céréales et oléagineux. Cette année, ces acteurs des différentes  filières  ont été invités à s’approprier le système d’information sur le marché agricole (SIMAGRI), innovation majeure pour de meilleures affaires. Cette édition  de la bourse aux céréales  s’est déroulé au  centre notre dame des Lorette  ce vendredi 05 décembre 2014. 


Brève discours du président du conseil d’administration, qui n’a pas manqué de situer l’objectif de la bourse aux céréales organisé par l’association APROSSA/AFRIQUE VERTE : Commercialiser.  En effet, selon ce dernier, le bilan de cette campagne agricole  fait état de 13 provinces déficitaires, 10 dans une situation moyenne et 22               provinces excédentaires. Eu égard à ces constats, la bourse aux céréales constitue un cadre organisé, unique qui favorise  à l’offre et la demande, l’échange d’information sur la situation alimentaire. La plateforme du Système d’information sur les marchés  agricoles IMAGRI a été présentée à la suite de ce discours. Retenons que SIMAGRI est un système qui  facilitent la commercialisation à travers la collecte  et la diffusion d’information sur les prix, stock et lieux des denrées alimentaire à l’intention  des acteurs  (producteurs comme commerçants, transformatrices, transporteurs). Ces acteurs peuvent accéder à la plateforme via leur numéro de téléphone portable.  Une démonstration séance tenante à permis d’envoyer une information sur le prix des céréales d’une  une localité  à un participants. A cette édition, certaines organisations étaient  à leur première participation, tandis que des inconditionnels  y étaient présent avec la ferme intention de conclure des contrats fermes. La pause a permis aux participants venus des différentes régions du Burkina de coucher sur papier leur offre de vente ou d’achat de céréales. La situation des offres de vente  au niveau du mil était de 18 142 sacs de 100 kilo, celui du maïs blanc de  22 190    sacs,3 112 pour le maïsjaunes, 750 sacs pour le sorgho rouge,12 490 sorgho blanc et 530 de riz nationale. Le total des offre était estimé  57 214 sacs.


vendredi 17 octobre 2014

La FAO annonce de bonne récoltes et une baisse des prix alimentaires

La FAO annonce de bonne récoltes et une baisse des prix alimentaires 
L'Organisation des Nations-Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a publié, le 9 octobre, son dernier rapport semestriel sur les perspectives de l'alimentation et son bulletin mensuel sur les prix des produits alimentaires. Dans la première publication, l'organisation estime que la production mondiale de céréales devrait être de 2,5 milliards de tonnes en 2014 et que les stocks céréaliers atteindront leur plus haut niveau depuis 15 ans. La production mondiale de blé battrait un nouveau record en 2014 et la production de céréales secondaires devrait également être abondante, en particulier en ce qui concerne le maïs. Concernant les prix, la FAO indique que son indice des prix alimentaires enregistre sa sixième baisse mensuelle consécutive, soit la plus longue période de baisse depuis la fin des années 90. Le sucre et les produits laitiers ont connu les baisses de prix les plus importantes, alors que le p rix de la viande reste élevé. Compte tenu de la part des produits carnés dans la facture mondiale des importations alimentaires, le montant de cette estimation des dépenses mondiales en produits importés se situera au-dessus des mille milliards de dollars pour la cinquième année consécutive


source AFDI

mardi 14 octobre 2014

Porto folio sur la conférence des jeunes francophones , Dakar 2014













Forum des Jeunes Francophones : jeunes, paix et développement durable en Francophonie : l’avenir en face,

Le forum  des Jeunes Francophones s’est ouvert ce jeudi 08 octobre 2014 à l’hôtel N’gor Diarama de Dakar au Sénégal. Intitulé, jeunes, paix et développement durable en Francophonie : l’avenir en face, ce forum a réuni plus 250 jeunes venus des différents pays de l’espace Francophone. Porteurs  d’initiatives sélectionnées, jeunes chefs d’entreprise, porteur de projet dans  le domaine de l’environnement, de l’agriculture, du tourisme , de l’artisanat et de la culture , les jeunes Francophones se sont retrouvés  à Dakar pour échanger, poser les diagnostiques et formuler des recommandations en vue du prochain sommet des pour les chefs d’états et de gouvernement qui se réuniront en fin novembre à Dakar. Cette rencontre des dirigeants est consacrée aux femmes et aux  jeunes.

Ouvert à Dakar sous l’égide du Ministre de la jeunesse et de la construction citoyenne,  ce forum de Dakar débuté par la présentation de la situation de l’emploi des jeunes. La présentation a été faite par Dr  Ibrahima Hathie. En somme la question de l’emploi des jeunes est d’une actualité  et est crucial dans bon nombre de pays qu’ils soient francophones ou non. Ce dernier souligne que le chômage des jeunes constitue une bombe à retardement  et le chômage affecte les conditions de vie des jeunes et surtout leur dignité. Pour Dr Hathie , les affres du chômage maintiennent l’individu dans la dépendance. La conséquence du chômage sont connut : migration, exode etc. …

vendredi 10 octobre 2014

Le forum des Jeunes Francophones:l'avenir en face

Le forum des Jeunes Francophones  s’est ouvert ce jeudi 08 octobre 2014 à l’hôtel N’gor Diarama de Dakar au Sénégal. Intitulé, jeunes, paix et développement durable en Francophonie : l’avenir en face, ce forum a réuni plus 250 jeunes venus des différents pays de l’espace Francophone. Porteurs  d’initiatives sélectionnées, jeunes chefs d’entreprise, porteur de projet dans  le domaine de l’environnement, de l’agriculture, du tourisme , de l’artisanat et de la culture , les jeunes Francophones se sont retrouvés  à Dakar pour échanger, poser les diagnostiques et formuler des recommandations en vue du prochain sommet des pour les chefs d’états et de gouvernement qui se réuniront en fin novembre à Dakar. Cette rencontre des dirigeants est consacrée aux femmes et aux  jeunes. 
Quelques images de la cérémonie d'ouverture !!!!!

délégation du Burkina Faso 



Présidium de la cérémonie d'ouverture


vue des jeunes francophones 
vue partiel des jeunes
Mali et Burkina 
participants du Burkina , Côte d'ivoire et îles Comores !!

lundi 22 septembre 2014

Sommet sur le Bien être social: les technologies comme levier de développement

Le social Good Summit : quel rôle des technologies et innovations dans le développement humain pour un monde meilleur ?

Selon les organisateurs,en l’occurrence  le PNUD au Burkina Faso, cette rencontre sur le bien-être social est célébrée depuis cinq ans pendant la semaine des Nations Unis à New York et est un cadre d’échanges sur la contribution des nouveaux médias et des innovations aux défis du développement.
Au cours de ce panel d’échanges, Mr Ouédraogo Sylvestre de l’Association Yampukri a résumé un brièvement l’évolution de l’internet dans le monde et au Burkina Faso. Sur internet et notamment grâce aux web 2.0, beaucoup d’innovation s’y passe et il sera intéressant pour les décideurs de s’y intéresser. Au Burkina,  des plates formes collaboratives initiées par des jeunes pour le financement des activités connaissent un engouement réel.
Ce dernier préconise la mise en place d’un observatoire des pratiques et des répertorier la dynamique afin de mieux accompagner les initiatives porteurs. En outre  internet s’apparente  à une forêt pour tous novices ou des serpents (arnaqueurs) ou des plantes utiles (bois). Il faut mieux apprendre à connaitre la forêt que de refuser d’y pénétrer.
Au cours des témoignages qui ont suivi, artistes, comptables, travailleurs  , journalistes ont tous plaidé pour une utilisations appropriés des technologies pour la promotion sociale à l’image de l’assainissement dans les villes et villages , de l’éducation.

Aussi, il a été noté que ces innovations qu’elles soient sociales ou technologiques ne sont pas suffisamment documentés et valorisées. 

vendredi 8 août 2014

7ème Forum Mondial de l’Eau - Participez au Forum des citoyens 4 août 2014

7ème Forum Mondial de l’Eau - Participez au Forum des citoyens
4 août 2014
Le 7ème Forum Mondial de l’Eau aura lieu à Daegu en Corée, du 12 au 17 avril 2015.
Ce prochain Forum souhaite créer une plate-forme ouverte où différents acteurs pourront échanger leurs points de vue sur l’eau, trouver des solutions, et interagir avec la communauté internationale. Le Forum des citoyens est conçu à cet effet et de ses programmes spécifiques seront organisées par les citoyens et les associations.
Par conséquent, les organisateurs du Forum Mondial de l’Eau invitent les citoyens et les associations à proposer des programmes avec une valeur éducative pour contribuer à l’amélioration de la sensibilisation du public de l’eau et encourager une interaction dynamique afin de chercher ensemble des solutions.
Pour participer, télécharger le formulaire sur le site du Forum (ou bien télécharger le document ci-contre) et renvoyez le à citizens7@worldwaterforum7.org
Date limite de participation : 30 septembre 2014

vendredi 1 août 2014

La Foire de l’Innovation Paysanne en l’Afrique de l’Ouest (FIPAO)


La Foire de l’Innovation Paysanne en l’Afrique de l’Ouest (FIPAO) va se tenir les 28 au 29 novembre 2014 au Burkina-Faso. Elle va regrouper les producteurs du Burkina Fao, Mali, Niger, Nord Benin, Nord Togo et Nord Cameroun. Ce sera l'occasion pour découvrir comment et pourquoi ces paysans producteurs innovent et pour mieux apprécier ce que les populations locales font pour améliorer leur situation.
Dans ce cadre, un comité est mis en place pour sélectionner les innovations qui seront présentées à cette foire.
Pour plus d'informations, télécharger les documents ci-après :

vendredi 4 juillet 2014

John Dillon Fellowship | ACIAR

The John Dillon Memorial Fellowship was established by ACIAR in recognition of Professor John L. Dillon’s life-long support for international agricultural research. The Fellowship scheme serves the memory of John Dillon by providing career development opportunities for outstanding young agricultural scientists or economists from ACIAR partner countries who are involved in a current or recently completed ACIAR project. 8-10 Fellowships are offered annually.



The Fellowship aims to develop leadership skills in the areas of agricultural research management, agricultural policy and/or extension technologies. This is achieved by providing exposure to Australian agriculture across a range of best-practice organisations involved in research, extension and/or policy making.



The visit programs are tailored by negotiation between ACIAR and the selected Fellow to meet the needs of individual Fellows and their employing organisation. Arrangements for the Fellowships will be flexible, and the following points are intended to indicate features of the program:





John Dillon Fellowship | ACIAR

mardi 1 juillet 2014

AGENDA AGRICOLE

Agenda

lundi 30 juin 2014

ICTD 2015 Call for papers and notes

ICTD 2015 Call for papers and notes

ICTD 2015 Call for papers and notes

Call for papers and notes for the 7th International Conference on Information and Communication Technologies and Development (ICTD2015) is until October 13, 2014. This year's conference is to be hosted at the Nanyang Technological University, Singapore on May 15-18, 2015.
ICTD2015 is held in cooperation with ACM SIGCHI and ACM SIGCAS, ICTD2015 will provide an international forum for scholarly researchers to explore the role of information and communication technologies (ICTs) in social, political, and economic development. The ICTD conferences have been taking place approximately every 18 months since 2006.

mardi 17 juin 2014

subventions pour jeunes chercheurs

Promouvoir la Résilience des Economies en Zones Semi-Arides : Programme de petites subventions pour les jeunes chercheurs

PRISE prévoit d’attribuer une dizaine de subventions, chacune de l’ordre de 3000 à 5000£. Les applications qui offrent une valeur exceptionnelle à PRISE pourraient être admissibles à un financement supplémentaire.

PRISE encourage vivement les candidatures de chercheurs de pays en voie de développement, ou associés à des institutions de recherche de pays en voie de développement.
Les candidats doivent remplir et soumettre par mail le formulaire ci-joint de demande du programme de petites subventions PRISE avant le 23 juin 2014 à Helen Mountfort, coordonnatrice du Consortium PRISE (h.mountfort@odi.org.uk).
Plus d’informations sur PRISE ODI
PRISE invite maintenant des chercheurs en début de carrière à soumettre une proposition succincte de projet de recherche qui réponde aux objectifs de la phase de création de PRISE et de ses priorités de recherche.
À PROPOS DE PRISE
Promouvoir la Résilience des Economies en Zones Semi-Arides (PRISE) est un projet de recherche multi-pays de cinq ans financé par le Centre de recherche en développement international (CRDI) du Canada et le Department for International Development (DFID) du Royaume-Uni.
PRISE mène des recherches et travaille avec les individus et les organisations à identifier les menaces et les opportunités que le changement climatique présente pour économies des régions semi-arides. PRISE veillera à ce que la société civile, les chefs d’entreprises, les collectivités et autorités locales et nationales aient une meilleure information sur les options de développement. L’initiative les soutiendra dans le choix des interventions et des investissements qui sont socialement équitables et plus résistants au changement climatique.
La recherche se concentre dans six pays africains et asiatiques : le Burkina Faso , le Sénégal , la Tanzanie, le Kenya, le Pakistan et le Tadjikistan. Le consortium se compose de l’Overseas Development Institute (Royaume-Uni), la London School of Economics (Royaume-Uni), l’Université de Dar es Salam (Tanzanie), le Sustainable Development Policy Institute (Pakistan), et Innovation, Environnement et Développement en Afrique (Sénégal).
http://www.iedafrique.org/Promouvoir-la-Resilience-des.html

PÊCHE DURABLE AU BURKINA FASO, LE RÔLE DES FEMMES DANS LA GESTION DE NOS POISSONS.

AGENDA

18 JUIN / 18:30 - OUAGADOUGOU

Maquis des Sciences

PÊCHE DURABLE AU BURKINA FASO, LE RÔLE DES FEMMES DANS LA GESTION DE NOS POISSONS. La pêche est essentielle au bien-être économique et social du Burkina Faso. Sa gestion durable ainsi que celle des ressources en eau est indispensable pour assurer ce bien-être. Si la capture du poisson est un travail presque toujours effectué par les hommes, les femmes…LIRE LA SUITE >

AGENDA AGRICOLE

Dates: 18-20 June 2014   Venue: Kampala, Uganda 
Wednesday 18 June 2014 - Friday 20 June 2014
Dates: 22-26 June 2014   Venue: Winnipeg, Canada  
Sunday 22 June 2014 - Thursday 26 June 2014


lundi 16 juin 2014

Résumé du mémoire de Master : le point de vue paysan sur le Jatropha curcas ( L) au Burkina Faso

Le Projet JatroREF ( www.jatroref.org)  est un projet émanant d’un bureau d’étude Français   ;  l’Institut de Recherche et d’Application des Méthodes de développement IRAM  basé à Montpellier. 

Ce projet mis en œuvre dans quatre  pays de l’Afrique de l’Ouest : Benin, Burkina Faso, Sénégal et Mali a été  initiée face à l’engouement pour le développement de la filière jatropha. Le projet s’inscrit dans une dynamique de construction de référentiels technico-économiques  sur le jatropha afin d’en établir sa viabilités socio-économiques et la durabilité environnementale. Le projet a mis en place des  pôles  d’expertise lié à des thématiques  au sein desquelles les recherches  (études, stages)  se mènent  afin de produire les connaissances scientifiques. La présente étude  s’inscrit dans les activités du pôle d’expertise intitulé, « insertion du Jatropha  dans les systèmes de production paysans ».  L’objectif de l'étude est d'abord de donner la parole aux paysans afin qu’ils donnent leur point de vue sur l'innovation. En outre il s'agit  d'analyser  actuellement la place du jatropha dans les exploitations  familiales agricoles  de Mangodara après quelques années d’introduction. De manière rétrospective, nous avons enquêté 218 producteurs dans 18  villages sur 35 de la commune de Mangodara. 
Les résultats de notre étude ont révélé  un désintérêt croissant  au sein des exploitations  agricoles  de la plantation et de l’entretien  des champs de jatropha. Le désintérêt du jatropha se caractérise par une faiblesse au niveau des opérations d’entretien des parcelles. Environs 36% des enquêtés n’apportent aucun soin à leur parcelle de jatropha. La taille des plants du jatropha est pratiquée par seulement 2% des enquêtés.32% des enquêtés font des opérations de désherbage.  Les motivations pour la plantation du jatropha  pour 97, 2% soit 212 producteurs étaient le gain de revenu additionnel. L’association avec les cultures de  rentes ou vivrières était le mode de culture le plus répandu (52%). Ceux qui avaient le jatropha comme seule culture sur leur terrain (type verger) représentent 43% des enquêtés, contre 6% des producteurs l’utilisaient comme haie vive.   En définitive la culture du jatropha a peu d’impact économique sur la vie des enquêtés  Par contre la plante ne concurrence pas le système de production   actuelle des exploitations agricoles car les producteurs vont des choix raisonnés.

Mots clés : innovation ; exploitations familiales, jatropha Curcas, Burkina Faso


mardi 10 juin 2014

Mémoire de Master en Développement rural !!!

Chers ami (e)s , mon silence et mon absence du blog étaient dus aux préparatifs de mon mémoire de master en Développement Rural  . Voici les  cérémonies  de soutenance  et de  remise de diplôme à l’université de Ouagadougou ce vendredi 30 mai 2014  en image !!!





Prix WASH Media : Les candidatures peuvent être soumises


Le Water Supply and Sanitation Collaborative Council (conseil collaboratif sur l’approvisionnement en eau et l’assainissement de l’eau) et le Stockholm International Water Institute (institut international de Stockholm sur l’eau) acceptent les candidatures pour la cinquième édition des prix WASH Media. Les prix reconnaissent et soutiennent le rôle crucial des médias dans la sensibilisation vis-à-vis de l’importance des services d’approvisionnement en eau, d’assainissement et d’hygiène.
Les prix visent à promouvoir les questions liées aux des services d’approvisionnement en eau, d’assainissement et d’hygiène dans les médias locaux, nationaux et internationaux grâce à une couverture qui a une influence positive sur les décideurs, le secteur privé et la société civile ainsi que les personnes et les ménages.
Le concours est ouvert aux journalistes qui publient ou diffusent des articles originaux d’investigation et font des reportages sur les questions liées à l’approvisionnement en eau, à l’assainissement ou à l’hygiène et leurs répercussions sur ​​le développement individuel et le pays. Les formats acceptés sont les versions imprimées et en ligne, les reportages télévisuels (y compris les documentaires), les émissions de radio ainsi que les dessins animés et les photos publiés. Pour qu’ils soient admissibles, les articles doivent avoir été publiés ou diffusés entre le 15 juin 2013 et 15 juin 2014.
Les journalistes peuvent soumettre un article sur un des thèmes suivants : l’eau et de l’énergie; l’équité et l’inclusion concernant l’eau, l’assainissement et l’hygiène; la fin de la défécation en plein air; le droit humain à l’eau et à l’assainissement; les services d’approvisionnement en eau, d’assainissement et d’hygiène de l’avenir : le programme de développement après 2015; et le suivi des engagements en matière de services d’approvisionnement en eau, d’assainissement et d’hygiène de l’avenir. Chaque thème comporte son propre prix.
Les gagnants recevront un prix en argent et auront la possibilité de participer à la semaine mondiale de l’eau à Stockholm du 31 août au 5 septembre 2014.
Les candidatures doivent être accompagnées d’un formulaire d’inscription et acheminées par courriel à WASHawards@wsscc.org. Le formulaire d’inscription estaccessible à http://www.wsscc.org/sites/default/files/publications/formularie_de_candidature_concours_wash_pour_les_medias_2014.doc.
Pour un supplément d’informations au sujet des prix, visitez le http://www.wsscc.org/sites/default/files/publications/wash_media_awards_flyer_fr.pdf.

vendredi 21 mars 2014

Portfolio sur Agriculture de conservation en Zambie

La conférence panafricane sur l'agriculture de conservation a été marqué par une visite de terrain  des participants  aux producteurs et productrices engagées dans l'agriculture de conservation 


Femme engagée dans l'agriculture de conservation dans un disctric du Nord de Lusaka /Rotation Légumineuse 


le paillage du sol , une des trois techniques utilisés  en agriculture de conservation  
Matériel pour l'agriculture de conservation 
paillage du sol 



visite de champs de la CFU) ( Conservation Farmer Union) 

François et Yahaya, les deux producteurs burkinabé , Gagnant du prix  commun meilleurs  producteurs  en Agriulteur de conservation 




lundi 17 mars 2014

1er congrès Africain sur l'agriculture de conservation :

Demain, 18 march 2014, debute dans la capitale de la Zambie; Lusaka  le prémier congrès Africian sur l'agriculture de conservation. 

 http://www.africacacongress.org.

Environs 500 participants du continent et d'ailleurs sont attendus à ce prémier rendez-vous sur l'agriculture de conservation et ce jusqu'au 21 mars. Panels , présentations , remise de prix  et visite de terrain sont au ménu de cette rencontre de haut niveau organisé par  African Conservation Tillage Network ( ACT) et le gouvernement Zambien. L'objectif étant de plaidoyer pour une pratique agricole écologique et accessible aux petits producteurs et aux exploitations familiales.

Pour ce qui ne sont pas familier du terme Agriculture de conservation, voici un petit  résumé ;  extrait du panel que je co-animera ce mercredi 19 mars ;  présentation intitulé " Harnessing the power of collaboration-Networking partnerships ans communities of practique
 "L’agriculture de conservation apparait comme une alternative innovante pour une pratique agricole durable tant sur le plan économique, social et environnementale. L’agriculture de conservation (Gnanou 2011)  peut être définit comme est une technique pour assurer une gestion durable des terres et améliorer les conditions de vie des producteurs.  Le travail minimal du sol, la couverture permanente du sol et l’association/rotation de cultures à l’échelle de la parcelle est les trois principes fondamentaux de l’Agriculture de Conservation  (AC). Cette innovation agricole dont les origines remontent dans la période 1960 aux  Etats-Unis  s’est développée en réaction à la mécanisation à outrance et  l’utilisation  des herbicides  provoquant des baisses de rendement et la dégradation des terres.  Bien qu’évoluant timidement sur le continent, l’Agriculture de Conservation n’est pas une pratique méconnut par les agriculteurs en Afrique." 
L'agriculture de conservation est une pratique agroécolique. Elle est adapté aux besoins et aux moyens des agriculteurs subsahariens. 

vendredi 14 mars 2014

Quelle modèle exploitation familiale défendons-nous ?

Ce 08 mars 2014 , point besoin de rappeler la contribution  des femmes  dans les secteurs  clés  de la vie nationale : éducation, santé, agriculture, politique.

 Cependant au-delà de l’aspect festive   critiqué  (défilé, tenue, soirée de gala)  et des conférences, des interrogations m’ont  traversés l’esprit. Nous célébrons l’Année Internationale de l’Agriculture Familiale au Burkina , et dans le monde. J’étais convaincu  que le plaidoyer pour les organisations paysannes au niveau nationale sera  de mettre ce thème au cœur de la célébration de la journée. Pourquoi Pas ?  Les organisations paysannes et la société civile avaient donnés le ton en novembre 2013 lors du forum sur les exploitations familiales, l’union Africaine  en Janvier 2014, en déclarant lancer officiellement l’année. Qu’importe,  le thème national sur l’accès au financement des femmes est n'en n'est pas moins opportun. Mais un peu de synergie entre les  ministères  de la promotion de la  femme et du genre ,  
celui  de l’agriculture  et les organisations paysannes et la société civiles n’aurai fait du  mal à personne. En cette journée, hommage aux femmes vaillantes de mon pays dont l’espoir de meilleures  condition de vie  est lointain mais se profile à l’horizon, j’avoue au regard de la réalité de mon cher Faso, qu’il y a matière à réfléchir.

Tous que nous sommes,  sommes  engagés et favorables à dans la défense de l’exploitation familiale,  mais posons-nous la question  de quelle exploitation  familiale défendons nous ? Partant du constat que :
·         80% de la population vivent en  milieu rural dont au  moins 65% de femmes qui consacrent les trois quarts de leur temps aux activités agricoles
·         les hommes  dirigent  91,3%  des  ménages  agricoles  et  les  femmes  8,7%. 
Agricultrices dans un village du Burkina
crédit photo : Jatroref 
Je pense que la situation des femmes en agriculture au Burkina, s’améliorent mais en voulant défendre un système de production agricole il est de bon ton de montrer  ses insuffisances.   Aujourd’hui le système du patriarcat exclu des femmes l’accès à la terre. Défendre, l’agriculture familiale, c’est aussi vouloir modifier les rapports de force au sein des familles : meilleur répartition des richesses issues de l’activité et instauration du dialogue au sein des familles sur les choix agricoles à faire. Les jeunes, les femmes ont des difficultés d’épanouissement dans les exploitations familiales.    En Novembre 2013 lors du forum sur les exploitations familiales tenu à Ouagadougou,  le président de la Confédération Paysanne du Faso, Mr Bassiaka Dao a reconnu que «  l’exode des jeunes ruraux est dû au fait à  l’incapacité des exploitations familialesde  leur trouver une place en son sein ». Quant aux  femmes disons le souvent, les ressources issues de l’exploitation familiale n’est pas dans la plupart des cas utilisé à bons escient par ceux qui la contrôlent (notamment les hommes).  Donc les femmes qui consacrent plus de trois quart de leur temps aux activités agricoles n’en tirent pas les bénéficies conséquents.

Les exploitations familiales évoluent et il sera judicieux de nos jours de mettre en lumière , les modèles d’exploitation familiales qui créent de la richesse , fait vivre les communautés et ou chaque acteurs y trouve sa place. 

vendredi 7 mars 2014

Atelier de formation pour Jeunes Communicateurs à Addis-Abeba , Ethiopie

Voulez-vous apprendre à communiquer plus efficacement ? Etes-vous intéressé par l'utilisation des médias et les médias sociaux pour diffuser vos messages de manière plus efficace et largement ? Avez-vous souhaiter une  approche plus créative et stratégique pour la production de contenus de qualité supérieure ?
Date de LIMITE : 30 Avr 2014
Farming First  et l'Institut international sur les politiques alimentaires (IFPRI ) organisent un atelier d'une journée pour les communicateurs  le  14 mai 2014 , immédiatement avant la conférence de l'IFPRI - " intitutlé " renforcement de la résilience pour la sécurité alimentaire et la nutrition» - à Addis-Abeba , en Ethiopie .
L'atelier permettra de ( a) renforcer la capacité des participants à communiquer sujets " résilience " plus efficace et créative et ( b ) générer du contenu tout au long de la conférence et ensuite pour alimenter  les contenu sur l'agriculture et de l'IFPRI  .

Le public cible sont les jeunes communicateurs qui travaillent sur les thématique de   durabilité ,  la résilience  en agriculture . Nous cherchons à avoir un minimum de 10 jeunes communicateurs locaux à base qui pourraient bénéficier de la formation dispensée par trois experts en communication sur la création de contenu  les médias sociaux et la promotion en ligne .

Dirigée par les communicateur supérieurs ayant une expertise dans la planification des communications , développement de contenu et la gestion des médias sociaux , l'atelier vise à renforcer la capacité des participants à communiquer sur des sujets liés à la sécurité alimentaire , l'agriculture durable et la résilience

.Questions ? Email agriculture  à : info@farmingfirst.org
La suite sur:
  http://ypard.net/fr/opportunity/farming-first-ifpri-training-workshop-young-communicators-addis-ababa-ethiopia